samedi 14 mars 2009

Via le Figaro


Les États-Unis ont reçu le renfort du Japon, qui a annoncé un troisième plan de relance. L'Europe refuse d'en faire plus de son côté.

Le succès soudain obtenu par le G20 sur les paradis fiscaux, avec une levée partielle du secret bancaire en Europe, n'a pas suffi à éteindre la polémique transatlantique sur les plans de relance. Les États-Unis qui consacrent 5,6 % de leur PIB à la relance accusent l'Europe de ne pas en faire assez. «Les plans de relance sont en deçà de l'objectif du FMI, à 2 % du PIB» a regretté, vendredi, Robert Zoellick, le patron de la Banque mondiale, en arrivant à Londres.

Comme le FMI, la Banque mondiale pronostique une récession mondiale pour 2009. Jeune vedette du G20, Tim Geithner, le nouveau secrétaire au Trésor va plaider pour une relance mondiale à 2 % de PIB. «L'action du gouvernement américain commence à payer» , se félicite Larry Summers, conseiller économique de la Maison-Blanche, citant les derniers chiffres des ventes de détails qui semblent stabilisées.

jeudi 12 mars 2009

Primaires au PS

Via Le Figaro

Le secrétaire national à la rénovation, Arnaud Montebourg, s'est rendu aux États-Unis pour étudier la campagne de Barack Obama.

Le benchmarking est en vogue au PS. Lorsque la gauche française s'emploie à «rénover» ses pratiques, elle cherche l'inspiration à l'étranger. Aux États-Unis, depuis la victoire du démocrate Barack Obama, par exemple. Arnaud Montebourg en revient. Le secrétaire national à la rénovation, accompagné d'une délégation et notamment d'Olivier Ferrand, président du think-tank Terra Nova, y a rencontré des responsables du Parti démocrate qui ont organisé la campagne victorieuse de leur candidat. «Nous repartons avec quelques clefs pour ouvrir la porte de 2012», a-t-il déclaré ensuite. Il y a quelques années, la gauche voyageait moins loin, en Italie, où Romano Prodi puis Walter Veltroni avaient successivement été désignés leader de la gauche par un vote massif des électeurs sympathisants. Un gage de «légitimité», disait-on au PS.

À chaque fois, les socialistes se posent la même question : comment désigner leur candidat et mobiliser derrière lui en évitant les divisions internes des primaires de 2006 ? Arnaud Montebourg a été chargé de réfléchir au sujet.

vendredi 28 novembre 2008

2ème message

ET voici le 2ème message

Première note

Voici ma première note sur notre maison de Tilly en Creuse